L’immobilisme dans le domaine des pratiques d’exercices corporels, le manque de dynamisme des acteurs, l’inaction ou la « paralysie » des institutions, l’absence de moyens pour mener à terme une politique sportive d’envergure constituent une idée couramment admise, une caractéristique intrinsèque de la IVe République. À l’évidence, la reconstruction de la France, sortie exsangue de la guerre, impose d’autres priorités. Après le conflit mondial et les désastres associés, l’urgence est ailleurs...