Ce bilan, publié en 1986, permet de voir, un peu plus de vingt ans plus tard, le chemin parcouru par les hispanistes et historiens français comme Michel Catala, Jean-Marc Delaunay, Yves Dénéchère, Anne Dulphy, Natacha Lillo, Matthieu Séguéla ; par des historiens espagnols comme Antonio Niño ou Esther Sánchez Sánchez**.